Rentré dans l'Islam, c'est comme rentrer dans une cour de recréation. Ça bouge, hurle, s'agite, chante, danse, joue, court, pleure, rit. Chacun y invente des règles de jeux. Un vrai défouloir qui ne mène nulle part. Je suis cet enfant qui attend la sonnerie qui met un terme à ce vacarme, au bruit assourdissant. Je veux rentrer en rang et m’asseoir en classe pour accéder à la connaissance qui mène au Créateur.